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La mise à feu accidentelle d’un missile par un bateau de la Marine le 1er Juillet dernier ne devrait pas avoir d’impact, même si la Chine a utilisé cette opportunité pour mettre la pression sur Taiwan, selon le Bureau de la Sûreté Nationale (NSB 中華民國國家安全局).

Le leader nord-coréen, Kim Jong-un a surveillé le lancement « victorieux », d’un missile balistique sous-marin ce samedi, selon l’agence de presse nord-coréenne KCNA ce dimanche, déclarant que Pyongyang a désormais la possibilité de frapper Séoul et les Etats-Unis, « où cela plaira à la Corée du Nord ».  

Une photo publiée par l’Agence de Presse Européenne (EPA 環境保護署) ce dimanche montre clairement au moins une carte postale à destination de Taiwan qui a été retrouvée dans les débris du vol MH-17 abattu jeudi dernier au dessus de l’Ukraine.

Lors d’une conférence de presse tôt ce vendredi matin, le Premier Ministre malaisien Najib Razak a demandé que justice soit faite envers les responsables du crash de la Malaysia Airlines ce jeudi après-midi en Ukraine, si effectivement l’enquête prouve qu’il a bien été abattu par un missile.

Le dernier rapport sur la défense nationale a mis en lumière la menace grandissante de la Chine en matière militaire, déclarant que la Chine pensait augmenter sa capacité au combat jusqu’au point où elle pourrait complètement attaquer Taiwan.

Un officiel du ministère japonais de la Défense a annoncé jeudi qu’une image satellite montrait que la Corée du Nord avait mis en position de tir une rampe de lancement de missile dans l’Est du pays, d’après les médias japonais.

La Corée du Nord semble avoir bougé des missiles à portée moyenne sur sa Côte Est, selon le Ministre de la Défense de Corée du Sud ce jeudi après-midi, Kim Kwan-jin. La peur s’installe à propos de frappes sur la Corée du Sud ou le Japon.

La Corée du Nord a lancé une fusée mercredi dans l’espace, réalisant ainsi une « percée » technologique conçue comme une menace directe par les Etats-Unis qui ont dénoncé un acte « hautement provocateur ».